Depuis la sortie de The Paradise Club, on a pu voir Claudia Bouvette en spectacle dans différents festivals tels qu’Osheaga, le Festival d’été de Québec et M pour Montréal, ou encore au FestiVoix de Trois-Rivières où elle a réalisé un rêve de jeunesse en montant sur scène pour chanter avec Simple Plan. Elle s’est également produite aux quatre coins du Québec et de l’Ontario, notamment en première partie de Ne-Yo au Festival des Montgolfières et de Sean Paul à Soif de Musique. En 2022, on a aussi pu voir la chanteuse en couverture du magazine Elle Québec ainsi qu’au petit écran à de nombreuses reprises, que ce soit en performance, en entrevue ou en tant qu’actrice.
Peu importe le médium artistique avec lequel elle choisit de travailler, on sent dans le propos de Claudia Bouvette l’importance d’une émancipation et d’une liberté à tout prix. C’est un message d’ouverture qu’elle lance : aller au bout du désir de s’affirmer et de s’afficher tel.le que l’on est.
Née à Bromont, Claudia Bouvette vit et travaille aujourd’hui à Montréal. Autrice-compositrice-interprète, elle se passionne pour la musique depuis toujours. Après un passage remarqué à la télévision (Mixmania 2, Jérémie, etc.), elle revient à ses premiers amours en 2019 et fait paraître Cool It, un premier EP sur lequel on découvre une musique électro dansante qui emprunte aussi bien au hip-hop qu’à la pop de haut niveau. On y perçoit l’influence de Gwen Stefani, tant dans la musique et le discours qu’elle y livre, que dans son désir d’affirmation et sa force féminine brute. Les huit titres du EP font mouche et l’engouement pour la jeune artiste se fait rapidement sentir. Claudia cumule dès lors les écoutes sur les différentes plateformes (elle compte aujourd’hui plus de 10 millions d’écoutes sur les plateformes d’écoute en continu). Elle consolide aussi son lien précieux avec ses abonné.es, convaincue qu’au-delà de la musique elle-même, l’artiste doit créer une proximité avec le public, un lien plus intime et personnel.
Les deux années suivantes lui permettent de perfectionner son écriture et ses techniques de production musicale. À la fois blessée et inspirée par le tumulte de ses relations amoureuses des dernières années, Claudia puise à même sa détresse et son désir de reprendre le contrôle de sa vie pour mettre en mots ce qui sera au cœur du disque à venir. C’est avec Connor Seidel, son complice de longue date, qu’elle co-écrit et co-réalise la grande majorité des 14 pièces qui forment son premier album complet, The Paradise Club. Le duo y planche pendant près de 6 mois afin de parfaire son esthétique, son langage pop précis où se croisent éléments électros et instruments acoustiques. Des collaborateurs précieux viennent les épauler en cours de route, notamment Emma Beko, KodakLudo, Les Louanges, Caulder Nash et DCF.
Peu importe le médium artistique avec lequel elle choisit de travailler, on sent dans le propos de Claudia Bouvette l’importance d’une émancipation féminine et d’une liberté à tout prix. C’est un message d’ouverture qu’elle lance : aller au bout du désir de s’affirmer et de s’afficher tel.le que l’on est.
Depuis la sortie de The Paradise Club, on a pu voir Claudia en spectacle dans différents festivals tels qu’Osheaga, le Festival d’été de Québec et M pour Montréal, ou encore au FestiVoix de Trois-Rivières où elle a pu réaliser un rêve de jeunesse en montant sur scène pour chanter avec Simple Plan. Elle s’est également produite aux quatre coins du Québec et de l’Ontario, notamment en première partie de Ne-Yo au Festival des Montgolfières et de Sean Paul à Soif de Musique. En 2022, on a aussi pu voir la chanteuse sur la couverture du magazine Elle Québec ainsi qu’au petit écran à de nombreuses reprises, que ce soit en performance, en entrevue ou en tant qu’actrice.
Aujourd’hui en paix avec son passé et les chansons qui en ont découlé sur The Paradise Club, Claudia aborde son deuxième album avec le plaisir du lâcher-prise et une sérénité qui l’amène à faire confiance à la magie qui opère en studio quand on est au bon endroit au bon moment. DIARY FOR THE LONELY HEARTS, à paraître à l’automne, démontre la force des coups de foudre artistiques, alors que Claudia Bouvette explore avec Soran l’ensemble des possibilités. Propulsée par l’esthétique de No Doubt, The Japanese House ou Imogen Heap, l’artiste pose un regard réfléchi sur un éventail de questions qui se sont présentées à elle durant les dernières années et elle déploie des rythmes entraînants portés par une énergie renouvelée.
There is nothing we love more than a total display of female emancipation — and for this, Claudia Bouvette has no chill.
WonderlandAvec The Paradise Club, Claudia Bouvette prouve à qui en doutait qu’elle est une auteure-compositrice-interprète de talent, qui risque de nous surprendre avant longtemps.
Mélissa Pelletier, Le Journal de Montréal[...] l’avenir appartient bel et bien à Claudia Bouvette.
Laurie Dupont, ELLE Québec[...] on passe d’une ambiance à l’autre en se laissant surprendre par l’agréable légèreté des compositions et la finesse de la réalisation.
Philippe Renaud, Le Devoir[Claudia’s] voice melds beautifully with the ’90s-inspired backdrop, which is punctuated with a thick bass groove, sauntering drums and bubbling synths.
Purple MelonReturning to her bold and driven aesthetic throughout, this fresh and exciting return cements [Claudia Bouvette] as one of the more enticing names on the scene today.
ROUGH Magazine