Joe Rocca est de retour après avoir pris le temps nécessaire pour remettre son œuvre en question et arriver avec un concept accompli, introspectif, au sommet de son art.
Hybride est l’un des albums les plus polyvalent qu’un rappeur québécois nous ait livré. Accompagné par Félix Petit à la réalisation (Les Louanges, Hubert Lenoir, etc.) ainsi que par Jean-Michel Frédéric (Dominique Fils-Aimé, Loud, KNLO, etc.) et Worry à la production, le membre fondateur de Dead Obies se dévoile comme un artiste unique, littéralement Hybride, faisant le pont entre pop, rap, funk, soul et R&B.
Fort de son premier album solo, French Kiss (2017), et d’une vaste expérience en studio et sur scène avec Dead Obies, le jeune homme, fraîchement entré dans la trentaine, démontre une maturité musicale rare pour son âge. Cette sagesse transparaît dans l’humilité et l’authenticité de ses textes qui traitent d’amour, de relations, d’un réalisme davantage porté sur l’intériorité que l'exubérance.
Joe Rocca est de retour après avoir pris le temps nécessaire pour remettre son œuvre en question et arriver avec un concept accompli, introspectif, au sommet de son art.
Hybride est l’un des albums les plus polyvalent qu’un rappeur québécois nous ait livré. Accompagné par Félix Petit à la réalisation (Les Louanges, Hubert Lenoir, etc.) ainsi que par Jean-Michel Frédéric (Dominique Fils-Aimé, Loud, KNLO, etc.) et Worry à la production, le membre fondateur de Dead Obies se dévoile comme un artiste unique, littéralement Hybride, faisant le pont entre pop, rap, funk, soul et R&B.
Fort de son premier album solo, French Kiss (2017), et d’une vaste expérience en studio et sur scène avec Dead Obies, le jeune homme, fraîchement entré dans la trentaine, démontre une maturité musicale rare pour son âge. Cette sagesse transparaît dans l’humilité et l’authenticité de ses textes qui traitent d’amour, de relations, d’un réalisme davantage porté sur l’intériorité que l'exubérance.
Côté rap, Joe Rocca n’a plus rien à prouver. Il faut savoir que ses premières expériences remontent à l’adolescence, il y a une quinzaine d’années, alors qu’il rappait dans les corridors de son école secondaire. Il s’est ensuite fait un nom à titre de battle rapper dans le cadre des Word Up! Battles avant de cofonder l’un des plus importants groupes rap de sa génération : Dead Obies.
Il n’aurait pas pu mettre son premier amour de côté. Le rap est bel et bien présent sur Hybride, puisque c’est sa discipline de prédilection. Mais la démonstration de ce talent n’est plus primordiale à son art; le rap est maintenant au service de l'œuvre.
Constamment attiré par les chemins qui le mènent hors de sa zone de confort, Rocca explore pour la première fois sa voix chantée, et ce avec une intention R&B sensuelle complètement assumée, sur French Kiss, en 2017. Avant tout, ce premier album solo est un statement musical : Joe Rocca n’est pas cantonné au rap. Ses horizons et ambitions musicales dépassent cet unique genre.
Pour Hybride, il s'est entouré de nouveaux collaborateurs, des musiciens aguerris qui complètent à merveille les idées musicales qu'il ébauche. Avec eux, il élabore un son à cheval entre R&B alternatif et rap, infusé parfois de funk, de boogie, d’électro ou de pop. Sur ces trames, il passe avec agilité et naturel du rap au chant and back. Bref, Joe Rocca nous revient avec un son qui lui est propre et une proposition artistique intègre et réfléchie, tout en fraîcheur et en profondeur.
Hybride [...] combines introspective lyrics and funk-forward synths for a truly engaging listening experience
Exclaim!Son deuxième opus, Hybride, témoigne de son arrivée à maturité et de l’exploration de ses nombreuses facettes
Le Journal de Montréalil est beau de voir un artiste se réinventer avec une réelle authenticité, tout en étant toujours capable de nous faire bouger, mais de manière différente
Le Canal AuditifLa versatilité et la polyvalence du son définissent le style de Joe Rocca
NoovoHybride fait preuve d’une belle cohésion
La PresseCet album-là (...) va devenir un bump absolu de l’été
Nicolas Ouellet, Jusqu’au bout (ICI Première)