Une semaine après avoir annoncé sa signature chez Bonsound en label et éditions, Virginie B dévoile Madone, une ode excentrique et pétillante à la paresse, à la féminité et à la nature. Ce single hyperpop est accompagné d’un vidéoclip réalisé par Rosalie Bordeleau dans lequel l’autrice-compositrice-interprète, réalisatrice et multi-instrumentiste prend la forme de quatre archétypes féminins.
Animée par l’énergie débordante d’un excès de sucre, Madone fait preuve d’un éclectisme saisissant pour sa courte durée; des lignes de basse percussives, des textures hyper-synthétiques et un rythme effréné contrastent avec la complexité de sa structure et la finesse de son esthétisme, offrant un espace où se rencontrent l’urgence et l’élégance. Le traitement appliqué à la voix de Virginie B lui donne des airs de nymphe virtuelle et reflète le caractère féérique des paroles, qui portent sur l'acceptation de sa paresse suite à l'avènement révélateur d'une figure féminine divine. La chanson a été composée et réalisée aux côtés de son proche collaborateur Louis Jeay-Beaulieu.
Le vidéoclip de Madone frappe l’imaginaire grâce à son symbolisme excentrique et aux costumes maximalistes signés Myraï Lavoie et Tristan Rehel, avec lesquels l’autrice-compositrice-interprète réussit à projeter l’image de quatre visions distinctes de la féminité : l’indésirable, le tortueux, la force et l’hyper-féminité. Ces quatre personnages sont complémentés par un cinquième qui donne son nom à la chanson : la Madone, divinité absolue qui nous guide vers le secret ultime du laisser-aller avec l’envoûtant mantra no me importa.
À propos de Virginie B
L’excentricité envoûtante de Virginie B n’a d’égal que sa créativité débordante. L’autrice-compositrice-interprète, réalisatrice et multi-instrumentiste propose une réappropriation unique des codes de l’hyperpop en y incorporant des touches de nu-jazz, de funk et de R&B, le tout complémenté d’une approche conceptuelle raffinée héritée de l’art pop et teintée d’un goût prononcé pour le maximalisme et le glamour. Accompagnée de son talentueux collaborateur et co-réalisateur Louis Jeay-Beaulieu, elle applique cet amalgame de styles à la fois distinctif et versatile à l’exploration de sa psyché, de sa féminité et de son rapport à la technologie et à la nature. En résulte un exutoire avec lequel elle exprime ses désirs comme ses abus en toute vulnérabilité sans trop se prendre au sérieux, reflétant du même coup une confiance imposante. En spectacle, elle fait preuve d’un charisme hypnotisant, décuplé par la chimie indéniable qu’elle partage avec Louis, qui l’accompagne à la basse. Outre son projet solo, elle apporte sur scène une valeur ajoutée aux nombreux artistes avec lesquels elle collabore, comme Super Plage, Félix Dyotte ou Marie-Gold.