Sur Main de Fer, Annie-Claude Deschênes fusionne la techno minimale et l’avant-garde pour susciter une exploration déroutante à travers l'isolement émotionnel. La chanson plonge l’esprit sous une emprise invisible, où l'âme se dissout dans l'ombre du contrôle. La main de fer, silencieuse et inflexible, efface les contours du soi, menant à un silence où le souffle s'éteint. Ses paysages sonores perturbants et ses textures fragmentées remettent en question l'aveuglement du soi et des autres, offrant l'opportunité aux auditeurs.trices de se libérer de leurs inhibitions et ce, dans un chaos maîtrisé.