Dans cette ode à l’éphémérité, Annie-Claude cherche à redéfinir ses schémas de pensée sous la pression du temps. La basse découpée et grinçante se fait menaçante, tandis que les rythmes urgents et cadencés évoquent la course constante de l’être contre sa propre obsolescence. En résulte un titre qui donne l’impression de danser au son des minutes perdues à jamais, sous le regard inquisiteur des caméras de surveillance et de l’introspection.