Née à Bromont, Claudia Bouvette vit et travaille aujourd’hui à Montréal. Auteure-compositrice-interprète, elle se passionne pour la musique depuis toujours. Après avoir bifurqué par la télévision, elle revient à ses premiers amours en 2019 et fait paraître un EP sur lequel se trouvent huit chansons écrites et réalisées en compagnie de Connor Seidel. On y découvre une musique électro dansante, qui emprunte aussi bien au hip-hop qu’à la pop de haute voltige. Elle profite des deux années suivantes pour perfectionner son songwriting et ses techniques de productions musicales. Son premier long-jeu, The Paradise Club, paraît sous Bonsound au printemps 2022.
Née à Bromont, Claudia Bouvette vit et travaille aujourd’hui à Montréal. Auteure-compositrice-interprète, elle se passionne pour la musique depuis toujours. Après un passage remarqué à la télévision (Mixmania 2, Jérémie, etc.), elle revient à ses premiers amours en 2019 et fait paraître Cool it, un premier EP sur lequel on découvre une musique électro dansante qui emprunte aussi bien au hip-hop qu’à la pop de haut niveau. On y perçoit l’influence de Gwen Stefani, tant dans la musique et le discours qu’elle y livre, que dans son désir d’affirmation et sa force féminine brute. Les huit titres du EP font mouche et l’engouement pour la jeune artiste se fait rapidement sentir. Claudia cumule dès lors les écoutes sur les différentes plateformes de streaming (on compte aujourd’hui près de 6.5 millions d’écoutes sur Spotify et Apple Music). Elle consolide aussi sa base de fans et d’abonnés sur les réseaux sociaux, convaincue qu’au-delà de la musique elle-même, l’artiste doit créer une proximité avec le public, un lien plus intime et personnel.
Les deux années suivantes lui permettent de perfectionner son songwriting et ses techniques de production musicale, notamment grâce à l’aide de Vincent Roberge (Les Louanges), qui la conseille et l’encourage dans sa démarche artistique. Elle se met à l’écriture de manière plus intensive et la pandémie lui donne l’occasion de se consacrer pleinement à son travail. À la fois blessée et inspirée par le tumulte de ses relations amoureuses des dernières années, Claudia puise à même sa détresse et son désir de reprendre le contrôle de sa vie pour mettre en mots ce qui sera au cœur du disque à venir. C’est avec Connor Seidel, son complice de longue date, qu’elle co-écrit et co-réalise la grande majorité des 14 pièces qui formeront son premier album complet, The Paradise Club. Le duo y planche pendant près de 6 mois afin de parfaire son esthétique, son langage pop précis où se croisent éléments électros et instruments acoustiques. Des collaborateurs précieux viennent les épauler en cours de route, notamment Emma Beko, KodakLudo, Les Louanges, Caulder Nash et DCF.
Peu importe le médium artistique avec lequel elle choisit de travailler, on sent dans le propos de Claudia Bouvette l’importance d’une émancipation féminine et d’une liberté à tout prix. C’est un message d’ouverture qu’elle lance : aller au bout du désir de s’affirmer et de s’afficher tel.le que l’on est, envers et contre tous s’il le faut.
Depuis la sortie de The Paradise Club, on a pu voir Claudia en spectacle dans différents festivals tels qu’Osheaga, le Festival d’été de Québec et M pour Montréal, ou encore au FestiVoix de Trois-Rivières où elle a pu réaliser un rêve de jeunesse en montant sur scène pour chanter avec Simple Plan. Elle s’est également produite aux quatre coins du Québec et de l’Ontario dans le cadre d’une tournée en co-tête d’affiche aux côtés de l’étoile montante de la pop canadienne Tyler Shaw. En 2022, on a aussi pu voir la chanteuse sur la couverture du magazine Elle Québec ainsi qu’au petit écran à de nombreuses reprises, que ce soit en performance, en entrevue ou même en tant qu’actrice. Claudia Bouvette sera d’ailleurs de retour à la télévision à l’hiver 2023 en tant que capitaine dans la compétition musicale Zénith, animée par Véronique Cloutier.
There is nothing we love more than a total display of female emancipation — and for this, Claudia Bouvette has no chill.
WonderlandAvec The Paradise Club, Claudia Bouvette prouve à qui en doutait qu’elle est une auteure-compositrice-interprète de talent, qui risque de nous surprendre avant longtemps.
Mélissa Pelletier, Le Journal de Montréal[...] l’avenir appartient bel et bien à Claudia Bouvette.
Laurie Dupont, ELLE Québec[...] on passe d’une ambiance à l’autre en se laissant surprendre par l’agréable légèreté des compositions et la finesse de la réalisation.
Philippe Renaud, Le Devoir[Claudia’s] voice melds beautifully with the ’90s-inspired backdrop, which is punctuated with a thick bass groove, sauntering drums and bubbling synths.
Purple MelonReturning to her bold and driven aesthetic throughout, this fresh and exciting return cements [Claudia Bouvette] as one of the more enticing names on the scene today.
ROUGH Magazine